dimanche 12 février 2017

The Book of Ivy


Auteur : Amy Engel
Edition : Lumen
Parution : 5 Mars 2015
Nombre de pages : 342
Prise sur mon instagram

Résumé : 

Voilà cinquante ans qu’une guerre nucléaire a décimé la population mondiale. Un groupe de survivants d’une dizaine de milliers de personnes a fini par se former, et ce qui reste des États-Unis d’Amérique s’est choisi un président. Mais des deux familles qui se sont affrontées pour obtenir le pouvoir, la mienne a perdu. Aujourd’hui, les fils et les filles des adversaires d’autrefois sont contraints de s’épouser, chaque année, lors d’une cérémonie censée assurer l’unité du peuple.
J’ai seize ans cette année, et mon tour est venu.
Je m’appelle Ivy Westfall, et je n’ai qu’une seule et unique mission dans la vie : tuer le garçon qu’on me destine, Bishop, le fils du président.

Mon avis :

Ce livre a fait parlé de lui pendant très longtemps. Pendant mon premier Week-end à 1000 en 2015, il était dans énormément de pile à lire, pour ne pas dire toutes ! Il a une excellente note sur Livraddict, il a des avis positifs PARTOUT, et pourtant, ce livre ne m'attirait pas, mais alors pas du tout. Je me suis dis alors, après quelques temps - presque un an- à le voir partout sur booktube, sur les blogs, et autres clubs de lecture, que s'il faisait l'unanimité comme cela, il valait peut-être le coup d'être lu. Et c'est pourquoi je me suis procurée le roman, en grand format qui plus est, me disant que s'il me décevait, je le brûlerais. (Je ne ferais jamais ça, c'est une blague.) Ce jour-là, était le 16 janvier.... 2016 ! (Merci Livraddict pour les dates d'ajout des livres aha.)

Un an après, quasiment jour pour jour (le 22 janvier 2017), j'ai pris ce livre par hasard pour le Week-end à 1000 (mon Sixième il me semble). Et me voilà absorbé dans cet univers post-apocalyptique qu'est le monde de Book of Ivy.

Ivy est une jeune femme, qui est née dans la mauvaise famille. Pourquoi donc ? Parce qu'elle a pour rôle de tuer l'homme qu'elle va épouser lors du mariage arrangé annuel de leur petite communauté de survivants de l'apocalypse. Si elle était née dans une autre famille, elle serait juste une femme mariée, peut-être battue par son mari, ou aimée d'ailleurs, avec des enfants. Une vie tout à fait normale, dans un monde quasi normal. Sa famille, ainsi que la famille de son futur mari Bishop, sont les familles qui ont créé cette communauté (en gros, c'est un résumé.), et sa famille veut reprendre le pouvoir que celle du mari possède actuellement. (tu suis toujours ?)

Ce qui m'a plu dans ce roman : 
- le rythme. Le roman cadre trois mois de la vie d'Ivy, qui n'a pas vraiment le temps d'apprécier (drôle de mot) sa vie de couple. Elle doit agir vite, bien, et surtout discrètement, ce qu'elle fait à merveille. 
- Le mari. Il est plus réfléchit que je ne le pensais. Il est très altruiste, se montre prévenant, et pas comme n'importe quel blaireau dark et mystérieux présents dans beaucoup de Young Adult (désolée, je ne les aime pas trop trop...)
- Le gouvernement de cette dystopie. Même si la politique dystopique n'est pas trop détaillée, -ce que j'aurai apprécié davantage- on arrive quand même à comprendre pourquoi ils agissent de la sorte, et on aime les détester pour ça.

Ce qui ne m'a pas plu :
- Ivy. IVY. J'ai souvent stoppé ma lecture quelques minutes, afin de pouvoir souffler, lever les yeux au ciel, et lui crier dessus un bon coup "TU NE PEUX PAS RÉFLÉCHIR DEUX MINUTES??"
- La famille d'Ivy. Ils sont très collants, ils mettent énormément de pression sur Ivy, qui est déjà assez perdue pour rien, pas la peine d'en rajouter.

Sinon, j'ai lu le roman en une traite, il était distrayant à souhait, se lit très vite, c'est une histoire très fluide. Ce livre fait parti d'une duologie, mais je pense personnellement que la fin peut se suffire à elle-même. Je verrai si je lis la suite un jour.

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